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La CSQ recommande d’aller plus loin pour les victimes
« Ce projet arrive à un moment décisif où la société québécoise doit prendre un nouveau virage dans le traitement de la violence à caractère sexuel. Les rapports rédigés sur le sujet ont conclu qu’il est temps de changer les pratiques et les procédures, jugées trop longues et complexes pour les victimes qui souhaitent porter plainte, sortir de l’isolement et prendre la parole. En ce sens, le projet de loi no 42 fait un pas en avant. Mais il demeure perfectible, notamment quant à la simplification des façons de porter plainte. Le projet de loi introduit aussi différentes définitions et notions de violence, ce qui a pour effet de diluer la cohérence du cadre juridique et du processus de recours », a souligné d’entrée de jeu Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), en commission parlementaire sur le projet de loi no 42. -
Le plan doit reposer sur la participation de l’ensemble du personnel
La CSQ et ses fédérations du réseau scolaire (FSE-CSQ, FPSS-CSQ, FPPE-CSQ) accueillent avec satisfaction et quelques questionnements le plan de rattrapage scolaire déposé ce matin par le ministre de l’Éducation. -
Prendre les devants!
« Après les négociations du secteur public, 2024 sera une année d’action et de transformations », de lancer d’emblée Éric Gingras, président de la CSQ, en conférence de presse aujourd’hui, tout en soulignant que ce sera également une année de congrès pour la Centrale. -
La parole est maintenant aux 420 000 travailleuses et travailleurs du Front commun
Après des semaines de négociations intensives et après avoir consulté ses instances intermédiaires, le Front commun confirme que l’entente de principe conclue à la fin décembre avec Québec sera soumise aux membres représentés par le Front commun. -
À défaut d’une entente, le Front commun déclenchera la grève générale illimitée en début d’année 2024
Réunies hier dans leurs instances respectives, les délégations de la CSN, de la CSQ, de la FTQ et de l’APTS ont réitéré le mandat de déclencher la grève générale illimitée (GGI), ultime moyen de pression. Elles ont déterminé qu’à défaut d’entente satisfaisante d’ici là pour les 420 000 travailleuses et travailleurs qu’elles représentent, la GGI sera exercée rapidement au moment opportun en début d’année 2024. -
Le gouvernement encore coupable de négociations de mauvaise foi et d’entrave aux activités syndicales
Dans une décision tranchante, le Tribunal administratif du travail (TAT) remet à sa place le gouvernement, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, et ses négociateurs, en trouvant ces derniers coupables de négocier de mauvaise foi et d’entrave aux activités syndicales. Le TAT, dans son jugement rendu hier, impose des dommages punitifs exemplaires de l’ordre de 45 000 $ par organisation syndicale, pour un total de 315 000 $. -
Les travailleuses et les travailleurs en grève vont à la rencontre des députées caquistes de la région de Montréal
La grève se poursuit pour les 420 000 travailleuses et travailleurs regroupés en front commun. À Montréal, les grévistes s’étaient donné rendez-vous devant les bureaux de Chantal Rouleau, députée de Pointe-aux-Trembles, ainsi que devant les bureaux de Karine Boivin Roy, députée d'Anjou–Louis-Riel, afin de porter un message fort : « De meilleures conditions pour les services publics, c’est votre responsabilité aussi! » -
De bâillon en bâillon, d’échec en échec : gérer la santé comme une « business », ça ne fonctionne pas
Il y a huit ans, l’ex-ministre de la Santé Gaétan Barrette avait recours au bâillon pour imposer son imposante réforme du réseau de la santé, alors critiquée par tous les acteurs concernés par ce projet centralisateur. Sans grande surprise, cette réforme dictée par un seul homme n’aura pas eu l’effet escompté par celui-ci. C’est pourquoi l’AREQ (CSQ), qui regroupe plus de 60 000 personnes aînées, se montre consternée par la décision du ministre Dubé de recourir au bâillon à son tour pour imposer une réforme calquée des erreurs du passé. -
Une réforme antidémocratique au profit du privé
« Non seulement le ministre choisit d’adopter sa réforme de façon antidémocratique, mais en plus il fait fi de toutes les oppositions des citoyens et des acteurs du milieu qui dénoncent les changements annoncés depuis des mois. Le ministre s’entête à imposer une réforme dont lui seul est convaincu de la pertinence. C’est déplorable, la réforme Dubé, c’est tout sauf santé. » -
Les 420 000 travailleuses et travailleurs du Front commun entament une grève de 7 jours
Plus de 2 500 travailleuses et travailleurs du Front commun ont marqué le déclenchement de la plus longue grève du secteur public des 50 dernières années en accueillant les députés en cette dernière journée de la session parlementaire régulière à Québec. C’était aussi l’occasion de rappeler haut et fort leurs revendications et que, même si les fêtes approchent à grands pas, pas question de mettre la pédale douce sur la mobilisation tant que des offres qui répondent à leurs besoins ne seront pas sur la table. -
Le comité pour la diversité sexuelle et l’identité de genre de la CSQ réagit
Les membres du comité pour la diversité sexuelle et l'identité de genre de la CSQ souhaitent réagir à la suite de l’annonce de la ministre de la Famille quant au mandat et à la composition du comité de sages sur l’identité de genre. -
« Des changements majeurs qui font consensus contre eux », soutient la CSQ
À la suite de l’adoption du projet de loi no 23, la CSQ, ses quatre fédérations du secteur scolaire (la FSE-CSQ, la FPSS-CSQ, la FPPE-CSQ et la FPEP-CSQ) et sa fédération universitaire (la FREUQ-CSQ) déplorent le manque d’écoute du ministre de l’Éducation et sont mécontentes face aux changements qui découleront de cette réforme.