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Espérons que la FEEP va passer de la parole aux actes
La FPEP-CSQ a lu avec beaucoup d’intérêt et grande surprise les propos tenus dans Le Devoir, le 22 janvier dernier, par la directrice générale de la Fédération des établissements d’enseignement privés (FEEP). Madame Nancy Brousseau disait s’inquiéter de la « fragilité du personnel enseignant » dans le contexte actuel du retour en présentiel. -
Rentrée de l’hiver 2022 sous le signe de la COVID-19
Le retour en classe dans nos écoles, nos centres, nos cégeps et nos universités aurait dû se faire avec un plan clair, planifié et surtout, expliqué! Pas à la dernière minute. Pour cet édito, Éric Gingras fait le bilan de nos différentes interventions. -
Relevons nos manches!
L’importance de la vaccination du plus grand nombre pour se sortir de cette pandémie est une préoccupation partagée par plusieurs acteurs sociaux, dont nous sommes. Dans cette perspective, la Centrale est cosignataire de cette lettre conjointe des centrales syndicales et de représentantes et représentants gouvernementaux publiée ce matin dans différents quotidiens. Par ailleurs, être en accord avec la vaccination du plus grand nombre n’empêche en rien de maintenir nos différentes revendications en lien avec la défense de nos membres à cet égard. -
La Table des partenaires universitaires met en garde la ministre McCann
Dans une lettre envoyée la semaine dernière, la Table des partenaires universitaires (TPU) s’adresse à la ministre de l’Enseignement supérieur du Québec, Danielle McCann, pour soulever de sérieuses préoccupations en lien avec la santé et la sécurité du milieu universitaire lors de la rentrée hivernale 2022, et ce, en pleine 5e vague de pandémie de la Covid-19. -
Une rentrée sécuritaire! Vraiment?
À entendre la ministre McCann lors d’une rencontre s’étant déroulée le 12 janvier dernier, la rentrée dans les cégeps se fera dans un cadre sécuritaire, tant pour les étudiantes et étudiants que pour le personnel. Vraiment? Rien n’est moins sûr, à ce moment-ci. -
La CSQ accueille les salariées et salariés du CPE Le Chat Perché
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) est fière d’accueillir parmi ses nouveaux membres une trentaine de salariées et salariés du Centre de la petite enfance (CPE) Le Chat Perché. -
Préférer volontiers
On considère que l’ajout de volontiers après le verbe préférer produit un pléonasme. En effet, selon la Banque de dépannage linguistique, ce verbe signifie « marquer une inclination particulière à l’endroit de quelque chose ou de quelqu’un », et l’adverbe volontiers véhicule aussi l’idée d’inclinaison dans sa définition : « par une inclinaison naturelle, avec plaisir, sans peine ». On corrigera alors cette redondance en supprimant un des deux termes. -
Le temps des tourtières
Qu’est-ce qu’une tourtière? La réponse varie selon les régions et les époques. -
Pour apprendre, il faut se sentir en sécurité
Les événements violents autour et dans nos établissements scolaires, ces dernières semaines, sont très préoccupants. Nous devrions toutes et tous nous sentir interpellés par ce crescendo de violence, car n’oublions jamais que l’école n’est pas une bulle : elle est le reflet de ce qui se passe ailleurs dans notre société. -
Une chercheuse d’ici reconnue lors du gala de l’Acfas
Le 8 décembre dernier avait lieu le 77e gala de l’Acfas (Association francophone pour le savoir), qui, chaque année, souligne l’apport infiniment important des chercheuses et chercheurs québécois pour la société. -
Être contraint malgré soi
Être contraint, c’est être forcé de faire quelque chose contre son gré, donc malgré soi, d’où le pléonasme puisque l’idée de contrainte est présente deux fois. On aura compris qu’utiliser l’un ou l’autre des termes est suffisant.