Selon lui, il faut aller au-delà de la seule tâche prescrite et discuter de la charge réelle et ressentie, en plus de documenter les problèmes concrets vécus au quotidien pour démontrer l'ampleur du problème.

Il rappelle que l'insatisfaction, le stress élevé, la détresse et l'épuisement liés à la surcharge de travail coutent très cher. Ce genre d'argument est généralement compris des gestionnaires.


1 Pierre-Sébastien Fournier est professeur titulaire au département de management de l’Université Laval.